20-21-22 octobre au Théâtre de la Renaissance Oullins/Lyon
Le spectacle poursuit sa route, pour le coup, un peu de presse :
« Une distribution de haut vol laisse voir les articulations secrètes et les dysfonctionnements et jubile de sa riche diversité. Un théâtre de troupe entre drame et comédie »
Agnès Santi / La Terrasse
« Légèreté et allégresse significatives s’épanouissent dans la mise en scène de Laurent Hatat. Chacun est exactement distribué, joue son rôle en toute maitrise avec une fougue, un emportement, un désespoir exactement surligné. Le spectateur se réjouis de ce «jeu»-là, en y croyant, ce qui est le signe du bel équilibre atteint et maintenu »
Stéphane Gilbart / Luxemburger Wort
« Porté par l’énergie de la troupe, Olivier Balazuc, Azeddine Benamara et Kenza Laala en tête, Laurent Hatat s’amuse en entremêlant les langues. Passant de l’arabe à l’espagnol, de l’anglais au français, il insuffle à la pièce une dimension humaine et intemporelle, qui renforce ingénieusement
la complicité entre certains personnages tout en donnant à d’autres une force tragique. L’effet fonctionne à merveille. L’auditoire se laisse prendre au jeu, d’autant que les comédiens s’en donnent à cœur joie. »
Olivier Frégaville / L’œil d’Olivier
"Une valse volcanique sur fond de soubresaut révolutionnaire"..."Laurent Hatat entend parler de l'incertain d'aujourd'hui, taraudé par les mêmes maux que ceux qui affligent le personnages de Beaumarchais. Domination masculine, religiosité fanatique, jeunesse sacrifiée, compromission politique et fraude fiscale !"
Catherine Robert / La Terrasse
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