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Je suis le Vent

JON FOSSE

durée éstimée  : 1h05

création 2024

Dirigée par Emma Gustafsson, cette nouvelle création offre une version femme-homme encore inédite.

Nous poursuivons notre voyage dans un théâtre qui entrelace la pensée et le mouvement.

Une approche sensible qui rend toute sa puissance à l’écriture de Jon Fosse.

création saison 2024-2025

Je suis le vent
de Jon Fosse
traduit du norvégien par Terje Sinding publiée aux éditions de l’Arche


mise en scène Emma Gustafsson

collaboration artistique Laurent Hatat

 

jeu
Anne Duverneuil

Nicolas Martel


lumière
Anna Sauvage


musique
Martin Hennart

costume

Valéry Maria


administration et production
Elena Le Junter


diffusion
Pascal Fauve
Prima donna - les
2bureaux.fr

Un spectacle d’anima motrix

compagnie conventionnée par le ministère de la Culture - DRAC Hauts-de-France et la Région Hauts-de-France
Calendrier


Coproduction
La Manekine Scène Intermédiaire des Hauts-de-France
Comédie de Béthune Centre Dramatique National
Le Phénix Scène nationale Valenciennes Pôle européen de création Château Rouge - Scène conventionnée - Annemasse


Soutiens
KLAP Maison pour la Danse - Marseille
Théâtre La Verrière Lille
La Barcarolle Scène conventionnée - Saint-Omer

CCN de Tours

Théâtre Vitez d'Aix en Provence


Création le 8 novembre 2024
à La Manekine - Pont-Sainte-Maxence

 

durée 1h10
à partir de 13 ans

            Anne Duverneuil                                      Nicolas Martel


Cette création à venir s’inscrit dans le prolongement de la recherche plateau financée par la DRAC Hauts-de-France et en partenariat avec le Théâtre de Creil, L'Oiseau-Mouche de Roubaix.

Menée par Emma Gustafsson et Finalisé cet hiver au Phénix de Valenciennes : Avec Caroline Jaubert et Antoine Bugault, une forme dansée et jouée sur les traductions des poèmes inédits en français de Jon Fosse, traductions qu’Emma propose dans un échange nourri avec l’auteur.

      

       

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"Je suis le vent se joue dans un bateau imaginaire, à peine suggéré. Les actions sont également imaginaires..."

in Je suis le vent, première didascalie de Jon Fosse

L’immensité de la mer, un bateau imaginaire.

Deux êtres...

Un vivant, un mort ?

Le dernier voyage, le dernier repas, un mystère peut-être...

Pour l’un, comment vivre si la vie ne convient plus ?

Pour l’autre, comment vivre sans l’un ?

Un jeu d'adresses directes, fusantes, incarnées. C’est, pour nous, la bonne façon de faire vivre l’absurdité des situations.
Parfois jusqu’à la drôlerie.
Il est essentiel que le spectateur puisse goûter à l’ironie comique des échanges entre les deux personnages..

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